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BIO NOTE BIOGRAPHIQUE Farah Harmouch est une artiste-designer marocaine qui fait de la pluridisciplinarité son terrain de recherche et de réflexion. Après avoir obtenu son diplôme national d’art (DNA) à l’institut national des beaux-arts de Tétouan au Maroc en juin 2016, elle intègre en 2017 le master en muséologie et médiation culturelle à la faculté des lettres et des sciences humaines de Rabat. En 2018, elle est admise en master design à l’isdaT (institut supérieur des arts et du design de Toulouse), où elle va élaborer des projets questionnant la notion du voyage et la pratique de la marche dans l’espace public. Un travail qu'elle a également développé en design urbain lors de son semestre d’échange à l’Arba Esa (académie royale des beaux-arts de Bruxelles). Dans sa pratique artistique, Farah s'interroge sur ce qui résonne entre mémoire, espace physique et phénomènes sociaux, et à travers ses recherches, elle propose des objets sensibles, des scénographies, des performances, des éditions, des films, etc. qui mettent en avant diverses expériences de l’espace traversé et/ou partagé. Après avoir obtenu son DNSEP (diplôme national supérieur d’expression plastique) en octobre 2020 avec félicitations du jury. En janvier 2021, elle va participer à la première édition de la formation pluridisciplinaire "Plexus" à l’initiative de l'isdaT, où elle va associer à sa pratique plastique et visuelle, la musique et la danse. Dans la même année, elle va contribuer à l'exposition des diplômé.e.s “Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée”, une exposition co-produite et co-programmée par l’isdaT, le centre d’art le Pavillon Blanc de Colomiers et le centre d’art Le Lait d’Albi. En septembre 2021, Farah se joint à l'équipe administrative de l'isdaT en service civique dans le pôle développement et insertion professionnelle. À côté de cette mission administrative et professionnelle, elle intègre le master "Recherche - expérimentation" (Rex) au sein de l'école nationale de l'audiovisuel de Toulouse (ENSAV), afin de développer un volet plus analytique et expérimental dans le cinéma documentaire. En février 2022, Farah expose à La Maison des Arts Georges & Claude Pompidou de Cajarc dans le cadre d’une exposition ludique " L'aire de jeu " à destination du jeune public. Dans la même année, Farah enseigne les arts plastiques au collège Jean Lacaze de Grisolles. ​ En février 2023, Farah intervient en tant qu'artiste et commissaire d'exposition au Lycée des Arènes à Toulouse, elle collabore la même année avec l'association APAGO dans le cadre du projet "Clain. Retours aux sources" qui met en valeur le patrimoine naturel de la ville de Poitiers. En septembre 2023, Farah rejoint officiellement un programme de recherche en 3e cycle (grade doctorat) intitulé LIGA au sein de l'École Nationale Supérieure d'art et de design d'Orléans. Curriculum vitæ Portfolio

De l’objet graphique au graphisme de l’objet «... les dessins d’enfants deviennent un graphisme qui devient à son tour un habillage pour des objets récupérés... j’ai établi un travail de recueil et d'archivage de dessins d’enfants, de meubles ou d'objets usés, pour les recycler et les détourner...». Note du du mémoire "Des dessins d’enfants et du graphisme pour l’habillage d’objets récupérés et réanimation des espaces scolaires" . Projet de fin d'études (DNA) Institut National des beaux-arts de Tétouan, Maroc Février 2017 Lien images

Anamorphoses au collège Atelier avec l'artiste Projet en partenariat avec le centre d'art Pavillon Blanc Henri Molina - Colomiers et le collège Léon Blum de Colomiers Avril -Juin 2022 Dans le cadre du projet "Atelier avec l’artiste" proposé par le centre d'art Pavillon Blanc Henri Molina de la ville de Colomiers, j'ai souhaité réfléchir sur la manière dont les élèves du collège Léon Blum occupent, s’approprient et investissent les différents espaces de leur collège. Les ateliers proposés visent à penser avec et pour les élèves ce qui serait pour eux "un collège idéal". Dans ce sens n ous avons développer ensemble des images utopiques inspirées des voyages des élèves de 3e année collège. Le dessin est donc une première approche, un outil qui leur permet d ans un premier temps de communiquer et de partager leurs rêves et envies de voyages, pour se transformer après en un langage graphique qui viendrait habiller des objets ou des espaces, leurs donnant ainsi une parole et une identité nouvelle. ©katiabredonchel "L'Aire de jeux" Exposition 2022 À la maison des arts Georges et Claude Pompidou Du 20 février au 6 mars 2022 AVEC LES ARTISTES FAIG AHMED, VIRGINIE BARRÉ, FARAH HARMOUCH, ÉTIENNE LESCURE, MARIA MANDEA Pour les vacances de février, la Maison des arts imagine un festival entièrement dédié aux enfants. Une exposition en forme d’aire de jeux, un univers vivant et coloré dans lequel se côtoient des dessins muraux, des films d’artistes et des œuvres à jouer. ​ Site MAGCP Article ladepeche Article unidivers Article Actu.fr ©YohannGozard Article tourisme Les Rêv'Âges de l'Hers Dans la suite des projets sociaux-culturels Initié par la compagnie Ô Hazart le projet Rêv'âges de l'Her s est un projet pluridisciplinaire qui allie plusieurs médiums comme la danse, la création audio-visuelle et la photographie. Il est également soutenu par La Mairie de Toulouse (Direction Enfances et Loisirs) en partenariat avec le CDCN Toulouse - Occitanie. Le projet Rêv'Âges de l'Hers a été monté avec l'équipe de la maison de quartier de l'Hers à Toulouse pour et avec les jeunes ados adhérant.tes du centre de loisir. À l'issu de notre résidence, plusieurs ateliers de danse, de photographie, de création sonore et visuelle ont eu lieu. Le film "Prince charmant" est le fruit d'un travail expérimental et collaboratif, il a été montré au public dans le cadre d'une restitution de fin de résidence à la maison de quartier de l'Hers en février 2022. ​ Affiche / Farah Harmouch ©rachidbadiri Lien film Cadavre exquis en classe Atelier avec l'artiste Projet en partenariat avec le centre d'art Henri Molina de la ville de Colomiers Janvier - mai 2022 Dans le cadre du projet Atelier avec l’artiste proposé par le centre d'art Henri Molina de la ville de Colomiers, je souhaite réfléchir sur la manière dont les écoliers occupent, s’approprient et investissent les différents espaces de leur l’école. L’objectif serait de penser des utopies spatiales en libérant les imaginaires. Le des sin serait une première approche, une façon de communiquer et de partager ses rêves et ses envies, il pourrait se transformer par la suite en un langage graphique qui viendrait habiller des objets ou des espaces, leurs donnant ainsi une identité nouvelle. ©célinecyr Lien vers projet Dessiner un voyage Atelier jeune public à L'Adresse Printemps de Septembre de T oulouse, Février 2022 Dessiner un voyage ou un déplacement dans ville : voilà le point de départ de l’atelier que je propose. Conçu sous forme de cadavre exquis dessiné, cet atelier permet d’appréhender de manière ludique et créative l’espace et ses frontières. Equipés de crayons, pinceaux ou tampons, les petits géographes tracent à plusieurs mains une cartographie sensible entre trajet familier et territoire imaginaire. ​ ©anaellebour guignon Lien vers évènement

Le Clain. Retour aux sources Poitiers. 2022 - 2023 ​ Source de quiétude, d’inquiétude ou d’inspiration, le Clain façonne le paysage poitevin et se révèle changeant au fil des saisons. Toute l’année, cette rivière trace une ligne, un parcours qui serpente du Sud vers le Nord. Dans le cadre du projet « Le Clain. Retour aux sources », l’association APAGO invite les poitevin.e.s à collecter des sons, des images et des témoignages auprès des riverains, avec Marie Tijou et Floriane Musseau, artistes plasticiennes, Hélène Vignal, écrivaine, Farah Harmouch artiste-designer, et Audrey Houdart, compositrice sonore. Au fil de ces voyages et de ces rencontres, des temps d’ateliers artistiques permettent d’assembler et composer collectivement une œuvre plastique et sonore. Artistes, participant.e.s au projet, chercheurs, spécialistes de l’environnement partageront leurs sensibilités et approchse sur cette rivière si emblématique de ce territoire entre septembre 2022 et mai 2023. En mai 2023, inauguration d’une balade pédestre d’environ 6,5 kms incluant un contenu sonore via un QR Code. Réalisation d’une carte sensible en version papier et numérique. ​ ©brunmelissa Siteweb Le mobilier domestique "EXTRA - ET - ORDINAIRE'' Objets Objets d'art Objet de l'art Objes, objets d'art, objets de l'art : Le mobilier dimestique expérimental Le projet se construit autour de l’idée d’une personnification de l’objet pouvant mener à une forme narrative, il est attendu la construction d’un « récit » qui explore les charges sensibles, symboliques et expressives de l’objet. L'atelier se décline sur trois temps de workshops avec des rencontres, de la créations et la mise en espace qui marque le temps de restitution. Une présentation et une étude sont portées sur des œuvres signifiantes inscrites de façon équilibrée et repérée dans trois domaines distincts : les arts appliqués, les arts plastiques et les arts audiovisuels. Ce projet est pensé pour permettre aux élèves d'acquérir des repères artistiques, historiques et culturels partagés, en les invitant à tisser des liens et à dégager des questionnements possibles autour des différentes pratiques artistiques. Disciplines : Cinéma audio-visuel, arts plastiques, arts appliqués Professeurs partenaires : M. Rousseau, M. Teissier, Mme. Pinaud, Mme. Bonnetat, Mme. Pourcel, M. Amouroux, M. De Fontaine Lieu partenaire : Lycée général et technique des Arènes

BIFURCATION DESIGNER EN CARTOGRAPHE ​ " La ville est un espace géographique hétérogène, porteur de significations sociales et individuelles qui interviennent dans l’action des citadins. C’est ce qui explique pourquoi elle représente pour nombre de chercheurs, (anthropologues, scientifiques, etc.) mais également pour des artistes, designers, urbanistes ou architectes, une source inépuisable de concepts et thématiques à entreprendre. Ce sujet théoriquement vaste, complexe et difficile à cerner, est naît d’une lecture anthropologique et philosophique, qui m’a permis dans un premier temps de consentir les notions de base liées au champ urbain. Ceci, va vite basculer du côté des pratiques d’intervention et d’immersion urbaine." ​ Note du mémoire Projet de fin d'étude, Toulouse 2020 Lien vers mémoire DESIGN ET MIGRATION De l'objet clandestin à l'espace de transit ​ "À l’issue du mémoire, advient le sujet du projet de fin d’études, qui s’inscrit dans un cadre particulier et circonstancié. Il s’agit de la crise migratoire en Europe, un sujet qui n’a pas été forcément pensé comme problématique fondamentale dans le mémoire, et pourtant, il n’est pas si égaré que ça du propos de celui-ci. Il en résulte que, l’élaboration d’un sujet pareil après l’écriture du mémoire, agit comme une mise en action d’une étude théorique par la pratique. Le sujet de la migration, m’offre un terrain d’étude et d’expérimentation que je pense légitime, aux hypothèses soulevées à la fin du mémo ire." ​ Note du mémoire Projet de fin d'étude, Toulouse 2020 Lien vers projet ÉDITION SONORE Pour sensibiliser à la situation des femmes migrantes Les résident.e.s du CHC (centre d'hébergement d'urgence) du quartier de la Roseraie de Toulouse souffrent souvent d’un sentiment de solitude et de méfiance, ce qui peut parfois causer certaines tensions entre eux. Une grande majorité des résidents rencontrés au CHC, sont des mères migrantes et célibataires qui espèrent rester en France pour l’avenir de leurs enfants. La plupart des femmes avec qui j’ai réalisé des entretiens, ont connu la misère et vécu des traumatismes dans le pays d’origine et pendant leur exil. Même lorsqu’elles réussissent à franchir les frontières et entrer en Europe, elles sont confrontées à de nombreuses difficultés avant d’être prises en charge. Les femmes migrantes sont en recherche d’écoute et d’attention, elles esp èrent que leur exp érience servira d’exemple ou de leçon : Comment médiatiser des histoires de migration à des fins de sensibilisation, sans porter atteinte à leur témoignage et à leur situation ? Les résidents du CHC ont besoin de soutiens pour accepter leur situation et se familiariser avec leur lieu de résidence temporaire : Quels éléments peuvent favoriser l’écoute et la prise de parole de ces populations en besoin ? Voir la vidéo Dans le cadre d’un projet d’étude sur la migration dans un centre d’hébergement d’urgence, nous avons eu envie de croiser nos disciplines, art sonore, arts plastiques et design social.À travers la mise en place d’ateliers artistiques hebdomadaires, nous avons appris à connaître un groupe d’enfants et leurs mères, qui ont ressenti le besoin de se raconter. Comment garder une trace des vies qui traversent ces lieux temporaires ? La collecte de ces témoignages nous a amené à créer un livre sonore qui donne à voir et à entendre ces femmes et leurs histoires. Leurs souvenirs émergent par bribes et jouent avec leur mémoire. Par la création sonore et le dessin, notre objet redonne leur individualité à ces héroïnes contemporaines et permet une rencontre sensible avec elles. Lien vers projet Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée La route, Mawah (édition sonore) Exposition collective Du 24 septembre au 5 décembre 2021 Expositions des diplômé·es en art, design et design graphique 2020 et 2021 de l’isdaT ®franck alix CARTES, ID ENTITÉS ET PARCOURS DE LA MIGRATION Pour un premier contact avec les migrant.e.s Édition Lien vers projet C’EST QUOI ? Des cartes composées d’illustrations, symboles graphiques (dessins, formes. couleurs…) et d’une légende, permettant de raconter des histoires différentes, par référence aux cartes « Plus au moins » de Bruno Munari. POURQUOI ? . Aider le migrant à s’exprimer, raconter son parcours et dévoiler les raisons de migration de façon libre. . Aider les structures d’accueils dans leur collecte d’informations liées aux nécessités, besoins ou problèmes dont souffrirait l’enfant, ou le parent migrant. CONCEPTION. . Une conception graphique d’un ensemble de cartes correspondant aux situations les plus communes, et moments clés dans le parcours du migrant. . L’élaboration d‘un langage singulier, favorisant la prise de parole et le contact avec les migrants en particulier les enfants dans le cadre d’un atelier. JEU DE PLATEAU ET CARTOGRAPHIE MENTALE Pour mémoriser et s’adapter à son nouveau cadre et milieu de vie « temporaire » Lien vers projet C’EST QUOI ? . Ce kit provient d’une réflexion sur la cartographie mentale, après l’analyse de la méthodologie du JRS (jeu de reconstruction spatiale) du géographe Thierry Ramadier, et l’élaboration de celle-ci sous forme d’atelier avec les enfants migrants du CHC. P OURQUOI ? . Aider les enfants migrants à se projeter dans leur nouvel environnement d’accueil. .Faire part des déplacements du migrant et des difficultés rencontrées dans le pays d’accueil. .Réaliser des cartographies mentales manipulables, renouvelables, discutables en fonction des déplacements des enfants et parents migrants. CONCEPTION . Des éléments tangibles et manipulables sur un plateau en bois, avec une légende composée d’éléments correspondant à un lexique urbain, paysager et social. . Une variante sous forme de tampons pour réaliser des cartographies sensibles et subjectives que l’on pourrait garder avec soi. JEU DE CONSTRUCTION COLLECTIVE Appropriation de l'espace à travers le jeu Le CHC dispose d’une salle de cours, de jeux et d’une grande salle polyvalente pensée pour la programmation d’activités divers. Pourtant, ces espaces-là sont privés d’attention, car modestement maintenus par les structures gérantes. La majorité des enfants du CHC vivent dans des conditions très précaires, souffrent de déracinement et de choc culturel. Ils éprouvent également un réel besoin d’émancipation, car contraints à vivre dans des espaces généralement réduits et très peu investis. Les enfants du CHC expriment constamment l’envie d’occuper le vide et revendiquent un espace de jeu propre à eux, ainsi ils cherchent constamment à s’identifier dans leur lieu de résidence temporaire. Esquisses Lien vers projet Dessins techniques C'EST QUOI ? Dans la suite des kits proposés dans ce projet, le kit « jeu de construction collective » prend une place importante dans la démarche de travail. Composé de plusieurs éléments dissociés, le kit jeu de construction collective devraient permettre aux enfants vivant dans des conditions de précarité, d’imaginer et de construire collectivement de nouveaux espaces ou du mobilier (des cabanes, de petits tabourets, des bancs, tables, etc.). POURQUOI ? . Mener les enfants à la construction fonctionnelle à travers l’expérimentation, en jouant avec les formes, les couleurs et les matériaux : bois, tissu, etc . Encourager les enfants à prendre conscience de l’espace qu’ils occupent, le revendiquer même-si temporaire, et les inciter à son partage par le biais du jeu. . Augmenter le sentiment d’appartenance à un milieu donné et diminuer le sentiment de solitude, de déracinement et de détachement, dont souffrent la majorité des migrants et sans-abris. ​ CONCEPTION .Un kit de jeu de construction fait à base de matériaux de récupération, composé de plusieurs éléments différents. . Une structure démontable avec un système d’agencement sécurisé et simple d’usage. ​ Qu’est-ce qu’un mur ? Qu’est-ce qu’un espace privé ? Qu’est-ce qu’un espace intime ? Qu’est-ce qu’un espace public ? Qu’est-ce qu’un passage ? Qu’est-ce qu’un lieu ? Qu’est-ce qu’un milieu ? Qu’est-ce qu’un non-lieu ? Qu’est-ce qu’un territoire ? Qu’est-ce qu’une frontière ? Qu’est-ce qu’arpenter ? Toute ces questions viennent et reviennent dans ma réflexion sur l’espace urbain, ah et qu’est-ce que l’urbain ? Dans ce projet il s’agit d’aller au-delà des bornes, d’aller au-delà de frontières instaurées par la politique urbaine de la société contemporaine (...). Nous créerons notre propre langage urbain, et oui ! La ville parle, l’architecture parle, les trottoirs parlent, les bancs publics parlent, les jardins publics parlent, les ponts parlent, les stations de métros parlent, les rues parlent, les coins des rues parlent… mais pour nous dire quoi au final ? D’ici une question me paraît évidente : Comment nous nous approprions notre espace urbain, dans ce cas-là « le Mirail ». Nous approcherons le quartier du Mirail de Toulouse par le biais des ambiances sonores qu’il dégage. Le « son », les « voix », et les « bruits » les plus banals seront la matière base de notre travail, nous les développerons dans le temps, transformerons en objets ou en images, et les redéfinirons dans la forme et le sens, afin de proposer une autre lecture de ce quartier, une lecture, sensible, poétique et hybride mais surtout tangible. ​ Note de journal "Design et migration" Projet de fin d'étude (DNSEP), isdaT Toulouse, 2020 Pays'âges 2.0 Cabines sonores et jeu de construction collective Restitution de projet de fin de résidence avec la compagnie Ô HAZAR Le 18 septembre 2020 dans le quartier du Mirail U de Toulouse. Le 20 septembre 2020 au château de la Reynerie de Toulouse ®harmouchfarah Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée Jeu de construction collective Exposition collective Du 24 septembre au 5 décembre 2021 Expositions des diplômé·es en art, design et design graphique 202 0 et 2021 de l’isdaT ®franck alix

Esquisse commune Avec la participation de l’école d’Architecture de l’ULB Horta-la Cambre et l'atelier Design urbain de l’Arba-Esa de Bruxelles L’esquisse Commune est un projet collectif, conçu par des professeurs architectes, artistes, designers et urbanistes avec la participation de leurs étudiants ; et ce, à des fins de rénovation et d’intervention dans des espaces urbains, préconçus en amant et choisis avec soin par les opérateurs initiaux. En 2019, un projet de création de modules mobiles et transportables a été mis en place, réunissant les étudiants en design urbain de l’Arba (académie royale des beaux-arts de Bruxelles) dont je faisais partie et les étudiants en architecture de l’ULB Horta- la Cambre dans un workshop, visant à développer un aménagement paysager et architectural commun dans l’espace public. Lien vers projet ©harm ouchfarah Corps visibles Vidéo-performance ​ Dans cette vidéo, je raconte l’histoire d’une tribu en mouvement, des corps séparés deviennent une unité qui se déplace librement dans l'espace public, questionnant ainsi le principe de l'appropriation collective de l'espace et de son partage. Dans un premier temps, je propose des petites séquences introductives, où chaque interprète expérimente individuellement ce qui l'entoure. Ensuite, je me laisse guidé par l'ensemble des danseurs qui ne font désormais qu'unité, et par ce que propose la ville comme atmosphère et ambiance. C'est ainsi que la caméra suit nos gestes et nos mouvements, nous rompons avec les codes de la ville, tantôt acteurs, tantôt spectateur, nous agissons, réagissons et nous espérions libérer nos corps et nos émotions par ce simple geste de la marche collective. ​​ Visible bodies Vidéo-performance (2min 39s) Festival Performance Mínimas Urbanas en vídeo Espagne - Maroc Avril 2019 Lien vers article p 173 Lien vidéo ©harm ouchfarah Food Scope Forum Design de Paris, Novem bre 2018 Le projet Food Scope avait pour but d’observer notre rapport au monde en mouvance plaçant comme objectif « la nourriture ». À travers un workshop de 10 jours réalisé avec les étudiants de 4 écoles de design dont je faisais partie, le collectif japonais graf nous propose de dessiner le(s) future(s) en explorant au maximum le potentiel de présent. Le workshop a donné lieu à une restitution et une exposition dans le cadre du Forum Design de Paris avec HATTORI Shigaki, MIZUUCHI Tomohide et les chefs ARIKE Toshiyuki et NAKANO Jun. Les étudiants de l’Ecole Camondo, duperré- Univesité de Cergy-Pontoise département Gastronomie, l’ENSI et l’isdaT de Toulouse. La commissaire OE-GOTTINI Sumiko Assistée par GRUPPO Camille et IKEGAMI Yuko. Lien vers projet

Artiste-designer et étudiante-chercheuse, Farah Harmouch vit et travaille actuellement entre Toulouse et Orléans. Diplômée de l'institut supérieur des arts et du design de Toulouse en 2020 avec félicitations du jury, sa vocation artistique est née au croisement des arts plastiques, des arts visuels et des arts vivants. Sa pratique se nourrit du graphisme, du design d'objet et d'espace, elle y joint le support de la photographie, la vidéo documentaire et le théâtre. Ces médiums se traduisent dans ses productions par des objets divers, sensibles et manipulables, des scénographies d'espace et des cartographies sensibles. Farah collabore également avec différentes institutions culturelles, associations et écoles afin de démocratiser l'accès à l'art, à la culture, et de promouvoir des projets à vocation sociale et pédagogique. A présent, ses champs d'intervention continuent à s'élargir grâce aux projets pluridisciplinaires dont elle fait partie Articles en ligne Vidéo : un parcours Lien tous les projets "Freedom comes with responsibility" vidéo expérimentale pour le projet Soundsteps,, Mai 2022 ©farah harmouch " Une fois de plus , nos valises cabossées s'empilaient sur le trottoir on avait du chemin devant nous . Mais qu'importe : la route , c'est la vie." ​ Jack Kerouac, Sur la route (1957) "Toi, qui me regardes " Projet porté par le collectif SAFY ​ Projet lauréat du dispositif Initi'active Jeunesses du Conseil Départemental de la Haute-Garonne et du dispositif Cuture-ActionS du Service Culturel du Crous de Paris ​ "Toi, qui me regarde" est un projet transdisciplinaire alliant différents procédés artistiques plastiques (photographie, documentaire sonore, court-métrage, installation plastique...) à des questionnements d'ordre social, culturel et psychologique, mettant ainsi l’individu et son implication au cœur de sa réflexion et de sa démarche . ​ Dans ce projet, nous questionnons la notion de “stéréotype” autrement dit : les caractéristiques que la société attribue à un groupe de personnes pour les classer instinctivement (selon leur âge, leur poids, leur métier, leur couleur de peau, leur sexe, leurs style vestimentaires, etc.). A partir d’un ensemble de témoignages recueillis lors d’un casting auprès des étudiant.e.s ayant vécu cette confrontation au stéréotype ou étant à l’origine de sa provocation, nous réaliserons entre 15 et 20 portraits photographiques originaux (avec une scénographie et un décor spécifiques à l’identité, le récit et l’histoire de chaque participant.e. Ces derniers seront accompagnés par une diffusion sonore réalisée à partir des témoignages collectés, et qui sera également diffusée lors du vernissage dans l’espace d’exposition ​ © charbeloueiss Enzo NOS témoignages Emma Laurent Loufe Mounirah Sharbel Daniela Andra Lulu Rim Thiago Amal Le Clain. Retour aux sources. ​ Projet porté par l'Association APAGO 2022-2023 Notre projet se développe autour d'un thème de recherche fort : le Clain. Il réunit quatre artistes vivant ou ayant un lien fort avec la Nouvelle Aquitaine : Marie Tijou, plasticienne, Hélène Vignal, écrivaine, Audrey Houdart, compositrice sonore et moi-même. Le projet se construit en trois temps : un temps de collecte, un temps de production et un temps de valorisation. Notre objectif est de mettre en place un processus de création à partir de notre travail artistique personnel (dessin, narration et production sonore) et de nos axes de recherche; invitant les habitant.e.s de Poitiers et Saint- Benoît, les résident.e.s des structures médico-sociales et usagers, vivant à proximité du Clain, à explorer et imaginer cette rivière par la collecte de sons, d'images, de témoignages. ​ À propos : L’association APAGO a pour objet de développer l’accès aux arts et à la création auprès d’un large public et en particulier auprès des structures du champ social et médico-social. Pour cela, elle se définit autour de trois axes : l’expérimentation culturelle, la transmission et la valorisation incluant la mise en place d’ateliers par des artistes professionnels, des restitutions publiques, des rencontres et des expositions. Les projets de l’association sont principalement développés dans les territoires périurbains et ruraux. Lien réseaux sociaux ©farah harmouch FUIR, TRAVERSER, HABITER ? Un récit, trois pays Expérimentation documentaire, 2022 ​ JDans le cadre du master REX (recherche experimentation) de l'ENSAV (École Nationale Supérieure d’audiovisuel de Toulouse), je me suis intéressée à la figure de la « femme migrante » pour tout ce qui la caractérise en tant qu’individu, mais é galement, pour tenter de remettre en question la notion de proximité entre le sujet interrogée et l’interrogateur, ainsi que la notion de di stance physique, social et géographique évoquées à travers le récit, la narration, et l’image. Le sujet qui toutefois fut l’objet d’un projet en design, est devenu à présent l’objet d’ un projet en audio-visuel, développé dans le cadre du master REX . Cette expérimentation prend la forme d’un moyen métrage documentaire de 20 min, réalisé à partir du té moignage de Samia qui est à la fois la protagoniste et la narratrice de ce récit. Le documentaire comporte des bribes de l'histoire de Samia ainsi que de sa famille, les raisons de leur migration forcée et les détails de leur dépaysement causé par la guerre civile en Syrie. Une réalité que je tente de capturer à travers la caméra, poursuivant le fil des récits, de la mémoire et des images qui y sont archivées. Teaser documentaire SOUNDSTEPS Beyond Borders Association for International Exchange, Art, Culture & Education ​SoundSteps est un projet d'échan ge international mis en place par l'association Beyond Border (association d'échange international, culture, art et éducation basée en Allemagne), pour 40 jeunes danseurs et musiciens venant d'Ukraine, de France, d'Allemagne, d'Arménie, de Grèce et du Maroc.Le fruit de cette participation multiple à SoundSteps a donné lieu à un spectacle de danse et de musique sur le thème de la « responsabilité » au sein d'un groupe international, dont les hor izons, niveaux et styles de danse et de musique sont différents. La résidence s'est déroulée du 5 au 21 août à Hambourg (Allemagne) ainsi que la restitution finale et le spectacle. Un film documentaire sera réalisé par Linda Verweyen et Jana Stallein, il sera ensuite partagé sur les réseaux sociaux et sur le site web de l'association Beyond Border. Vidéo responsability Performance | SoundSteps Doculentary | SoundSteps ©farah harmouch Exposition 2022 L’AIRE DE JEUX UNE EXPOSITION POUR ENFANTS À la maison des arts Georges et Claude Pompidou de Cajarc Février - Mars 2022 ​​ Lien événement Interview Antenne d'oc ©Yohann Gozard Exposition 2021 Expositions du 24 septembre au 5 décembre 2021 co-produites et co-programmées par l’isdaT, Le Pavillon Blanc et le centre d’art Le Lait . Le centre d’art Le Lait à Albi et le Pavillon Blanc Henri Molina de Colomiers présentent à l’automne 2021 une exposition des diplômé·es de l’isdaT. Dans le cadre de ce partenariat avec l’isdaT, ces deux lieux de création ont fait le choix d’intégrer pleinement l’exposition des diplômé·es 2020 et 2021 à leur programmation et à la rencontre avec les publics. Lien événement ©franckalix Atelier et exposition L'ENAP, Agen Fevrier - mars 2022 ​ Dans le cadre d'un atelier artistique à l'Enap, je présente « La route Mawah », un livre audio composé d’une frise cartographique et d’extraits sonores, ainsi que le kit « Carte, identité et parcours de la migration », un outil destiné aux migrants pour parler de leur voyage à leur arrivée en France. Durant cet atelier, les participant.e.s ont manipulé les différents objets pour évoquer leurs propres itinéraires de migration. Lien événement Pub lication La Route, Maw ah . Quan d la parole de vient a rts La série Paroles d’Exploreur donne la parole à des scientifiques pour présenter leurs travaux et leurs aventures, en laboratoire ou sur le terrain, illustrés par des documents audiovisuels inédits. La vidéo a été tournée et réalisée dans le cadre de la programmation de La Nuit européenne des Chercheur·e·s 2021 d'Albi -Toulouse. ​ Article et publication pour la La Nuit européenne des chercheur·e·s. Propos recueillis par Hélène Pierre et Cécile Sabathier. Production : Université fédérale Toulouse Midi Pyrénées. Réalisation et montage : studio Hipolito. Tournage au Quai des savoirs, juin 2021. Lien article Lien vidéo Pays'âges Projets sociaux-culturels 2019 - 2022 ​ La collaboration avec la compagne Ô Hazart a donné naissance à trois projets phares dans mon parcours professionnel : - Pays'âges 2.0 (2019) au quartier du Mirail à Toulouse - Pays'âges d'Elles (2021) au quartier de la Reynerie à Toulouse - Rêv'âges de l'Her s (2022) à la maison de quartier de l'Hers à Toulouse. Les projets Pays’âges et Pays'âges 2.0 sont des projets lauréats des appels à projets Culture - Politique de la Ville de Toulouse menés respectivement au sein des quartiers Pradettes et Mirail U, le projet Pays'âges d'Elles quant à lui s'adresse aux habitant.e.s des quartiers Reynerie et Mirail U au cours de l'année 2021 . Les supports de communication (affiches à droite) sont conçues par mes soins pour communiquer sur chaque projet et événement. Lien article Lien événement Performance La Route, Pneuma Dans le cadre d'une résidence au Centre régional d'art contemporain Occitanie, Sète en mai 2021. ​ La Route, Pneuma est une installation sonore et performance. L'évènement est organisé dans le cadre de la formation transdisciplinaire PLEXUS , après une résidence au Théâtre de la Cité et avec la participation d’éOle – studio de création musicale. Lien événement ©farah harmouch Installation La Route, Pneuma ​ Installation & performance organisées dans le cadre de la formation PLEXUS, après une résidence au Théâtre de la Cité et avec la participation d’éOle – studio de création musicale. Faisant suite à la réalisation de cabines sonores documentaires et à la conception d’un livre sonore, ce projet de performance prolonge l’évocation sensible du parcours migratoire de Mawah, une jeune femme guinéenne. À partir de son témoignage et de la composition sonore, Farah Harmouch, Audrey Houdart et Romane Vivier proposent au public une installation activée par une performance, qui allie musique live, tracé graphique et corps en mouvement. A Artistes : Farah Harmouch, Audrey Houdart, Hugo Rigny et Romane Vivier. Regards complices : Simon Bergala, Christophe Chassol, David Haudrechy et Marion Muzac. Avec la participation d'éOle – studio de création musicale. Lien événement ©farah harmouch Installation MAMINES31 ! Installation plastique et sonore — séances d’écoute de 15min. Créée dans le cadre de la formation PLEXUS de l’isdaT. Synopsis : Nous avons grandi en même temps qu’internet. Tous les jours face à nos ordinateurs nous parlons de cookies, de navigateur ou de carte mère, sans en interroger le sens. STOP ! Il est temps de nous réapproprier la sémantique de l’informatique. Pour cela nous avons fait appel à d’autres générations. Celles de nos grands-mères, fières guerrières qui se battent nuit et jour avec/contre leurs féroces ordinateurs. Leurs témoignages rajoutent un peu de poésie dans ces montagnes de circuits imprimés, ils dessinent un univers fantasque que nous avons tenté de matérialiser à travers cette installation plastique et sonore. Lien événement

Mamines31! Installation plastique et sonore - Séances d’écoute de 15min Créée dans le cadre de la formation PLEXUS de l’isdaT Synopsis " Nous avons grandi en même temps qu’internet. Tous les jours face à nos ordinateurs nous parlons de cookies, de navigateur ou de carte mère, sans en interroger le sens. STOP ! Il est temps de nous réapproprier la sémantique de l’informatique. Pour cela nous avons fait appel à d’autres générations. Celles de nos grands-mères, fières guerrières qui se battent nuit et jour avec/contre leurs féroces ordinateurs. Leurs témoignages rajoutent un peu de poésie dans ces montagnes de circuits imprimés, ils dessinent un univers fantasque que nous avons tenté de matérialiser à travers cette installation plastique et sonore ." Audrey, Farah, Hugo et Romane. ​ ​ ​ ©farahharmouc h Lien d'événement Témoignage de Aabida ​ Ma grand-mère Aabida est née au Maroc, elle y habite toujours. Pour le projet Mamines31! je lui ai proposé de répondre à des questions en lien avec le sujet du projet. Nous échangeons par téléphone, elle me raconte, et j'enregistre :" C’est la 1er choses, c’est la télévision l’une des premières choses qu’on a vu, on pouvait voir des images qui bougent. C’était nouveau on était ébloui... les gens qui bougent les journalistes qui parlent de ce qui se passe à l’extérieur. On était ébloui ! C’était en 1963 qu’on a eu cette 1er télévision chez nous, et ce qu’on nous montrait c’est le journal, le sermon du vendredi, des émissions pour enfants, les nouvelle du roi, les chassons d’Oum Kaltoum... pas autant qu’aujourd’hui mais on apprenait beaucoup de choses (...) J’étais jeune j’avais 15 ans quand j’ai vu une télévision pour la 1er fois ! S’est ancré dans ma mémoire ! J’ai aimé ce monde parallèle, ces personnes qui bougent, respirent et parlent comme nous... Ces journalistes qui nous tiennent informé, ces émissions et ces films égyptiens qui nous réunissaient quelques heures, nous faisaient tantôt rire tant tôt pleurer. La télévision était à l’époque une vraie source d’amusement et notre passe-temps favoris." Aabida ​ Toulouse, Avril 2021 Lien vers témoignages Caractères spéciaux Sérigraphie (20x20cm) Support en Plexiglas Toulouse, 2021 Installation plastique et sonore — séances d’écoute de 15min Créée dans le cadre de la formation PLEXUS de l’isdaT Événement Les 21 et 22 juin 2021 Salle 110, isdaT site Daurade (entrée par l’escalier de l’administration) ©farah harmouch La Route, Pneuma Installation & performance organisées dans le cadre de la formation PLEXUS Résidence au Théâtre de la Cité et avec la participation d’éOle – studio de création musicale. Synopsis Faisant suite à la réalisation de cabines sonores documentaires et à la conception d’un livre sonore, ce projet de performance prolonge l’évocation sensible du parcours migratoire de Mawah, une jeune femme guinéenne. À partir de son témoignage et de la composition sonore, Farah Harmouch, Audrey Houdart et Romane Vivier proposent au public une installation activée par une performance, qui allie musique live, tracé graphique et corps en mouvement. Audrey, Farah, et Romane Lien vers évènement Résidence de Plexus en mai 2021 au Centre Régional d'Art Contemporain (CRAC) Occitanie, Sète. ©farah har mouch La Route, Pneuma (15min) Installation & performance organisées dans le cadre de la formation PLEXUS Événement vendred i 25 juin 2021 11h - Le cyclo, isdaT site Daurade ©farah harmouch

Fils, traces et végétaux Installation design urbain Encadré par Alice FINICHIU Les bâtiments de l’Académie royale des beaux-arts de Bruxelles sont ceux d’un ancien couvent et orphelinat de la rue du Midi. Un cloître carrée s’y trouve au centre du corps de l’ancien couvant. Mais il devient un sorte de centre vide. Ce centre vide me fait penser à la description de Roland Barthes dans l’Empire des signes du centre de Tokyo :« l’imaginaire se déploie circulairement, par détours et retours le long d’un sujet vide » . Un jardin d’ombres et lumières, investi dans le coin qui est en permanence ombragée avec des fougères, et sur un des cotés mi-ensoleillé par un mélange de semences diverses qui ont commencé à fleurir depuis environ 2 semaines. Les premiers à apparaitre ont été les coquelicots: pavots rouges, roses, blancs, pavots somnifères, œillettes. Lien vers projet ​Poétique d'une ville en mutation Atelier design urbain Encadré par Alice FINICHIU Dans l’atelier Design Urbain à l’ARBA (Académie royale des beaux-arts de Bruxelles), je me suis intéressée à la cartographie sensible et à la manière dont nous pouvons restituer des données géographiques et sociologiques à partir de nos déambulations. En partant du postulat que la carte classique ne donnait qu’une image très pâle de la richesse et de la subtilité des pratiques spatiales, j’ai adopté un mode de représentation plus libre et sensible, questionnant nos perceptions et nos usages d'espaces publics, extérieurs et espaces intimes, intérieurs. Lien vers projet Cartographi e du non-lieu Atelier paysage Encadré par Louis LEFEBVRE ​ Dans le cadre du studio d'étude Paysages, je questionne l'écriture de l'errance, j'essaie de développer une réécriture de la "promenade verte", connue pour être une passerelle, je l'ai défini en tant que "non-lieu" ou un "entre -lieu". Suite à des visites récurrentes sur ce site, je propose un dispositif d'écriture flâneur : une cartographie sensible, avec une légende associée à des symboles, des dessins graphiques et des outils d’explorations manipulables, qui invitent le spectateur à revisiter cet entrelieu autrement. Esquisses Lien vers projet Formalisme anti-forme Atelier mobilier urbain Encadré par Abdo KHOURI ​ Le projet de mobilier urbain propose comme lieu d'expérimentation le square de la rue des Cygnes à Bruxelles, où se trouve une sculpture monumentale du poète portugais Fernando Pessoa, réalisée par Irène Vilar en 1989. Dans ce projet, je me suis inspirée des poèmes de Pessoa, tout en questionnant l’usage du square, notamment en observant les postures des passants qui occupent la place. J'aborde ainsi la question de la spatialité urbaine en proposant des sculptures anti-forme. Je transforme par un geste graphique les corps en sculptures métalliques, conçues pour abriter et protéger les visiteurs, les passants ainsi que ceux qui attendent leurs bus près du square. Lien vers projet Point. Ligne. Forme sur plan Atelier performance dans l'espace public Encadré par Léa DROUET ​ Projet réalisé dans le cadre du cours à choix à ISAC (institut supérieur des arts chorégraphiques) de l’Arba Esa (académie royale des beaux-arts de Bruxelles). Dans ce projet, je me suis préoccupée de la manière dont les espaces urbains nous assignent des rôles et des actions. Dans cette performance, j’invite les spectateurs à s’étranger de leur quotidien urbain et à le regarder autrement. À partir d’une projection audiovisuelle, je dessine un itinéraire dans l’espace, mon corps déviant, représente cet instrument de narration, qui propose une lecture « autre », plus subjective et sensible de ce territoire que je n’ai pas fini de découvrir. DANSE ET ARCHITECTURE 0.KANAL Avec Radouan MRIZIGA ​ Comment la danse et l’architecture peuvent-elles créer ensemble un nouveau type d’espace ? Dans le cadre de Performatik19, le chorégraphe Radouan Mriziga installe un projet de résidence à KANAL – Centre Pompidou. Avec le Bauhaus comme modèle pédagogique, il désire mettre sur pied une pratique contemporaine d’apprentissage qui reformule la modélisation de l’espace. Il invite des étudiants en danse et en architecture à partager leur connaissance et leur pratique. Mon intervention s'inscrit dans une rapport d'observation et de restitution par l'image et le son. En projetant les questions qui en découlent sur l’espace de travail environnant, une nouvelle manière de penser et de sentir l’espace émerge à l'im age. ​ © VeerleVercauteren Lien vidéo Lien vers projet

GRAPHISME, ESPACES ET OBJETS Light box Lien projet Rêves d'enfants Lien projet De l’objet graphique au graphisme de l’objet Lien projet Mobilier urbain Formalisme anti-forme Lien projet Jeu de plateau et cartographie mentale Lien projet Two sides Lien projet Voyage de villes en villes Lien projet Design urbain Poétique d'une ville en mutation Lien projet La route, Mawah édition sonore Lien projet Jeu de construction collective Lien projet X Table Lien projet Fils et végéteaux Lien projet Paysages Cartographie du non-lieu Lien projet Cartes, identités et parcours migratoires Lien projet Mamines31! Lien projet ATELIERS ET RESIDENCES L'eau à la bouche Lien projet Anamorphoses au collège Lien projet Pays'âges 2.0 Lien projet Esquisse commune Lien projet Cadavre exquis en classe Lien projet Pays’âges d’Elles Lien projet Food Scope Lien projet Dessiner un voyage Lien projet FILMS, INSTALLATIONS ET PERF ORMENCES Corps visibles Lien projet La Route, Pneuma Lien projet Cabines sonores : La Route, Mawah Lien projet Marché Crystal : "IN" Lien projet Point. Ligne. Forme sur plan Lien projet Freedom comes with responsibility Lien projet Prince charmant Lien projet Marché Crystal : "OUT" Lien projet Danse et architecture Lien projet Fuir, traverser, habiter (teaser) Lien projet Jeu de construction : manipulation Lien projet

Gravure Rêves d'enfants Créée pour l'exposition collective de l'Auditorium Diocesano La Vallisa à Bari, Italie ​ Rêves d'enfants est une gravure (10cmx10cm) de 8 pages réalisée sous forme d'édition limitée. Les illustrations sont inspi rées et repris de mes propres archives de dessins quand j'étais enfant. Ces dessins sont réajustés, afin de dialoguer avec le lecteur racontant ainsi l'histoire d'un voyage fantastique et intime en images. Voir l'exposition Rêves d'enfants Gravure (10x10xm), 2016 ​ ​ ©farah har mouch Atelier / Exposition Voyage de villes en villes Projet collaboratif et atelier jeune public avec l'Institut français de Tétoua n au Maroc Dans une ambiance de jeunesse littéraire, culturelle et artistique, divers ateliers et performances ont eu lieu. Mon intervention dans le cadre de la Cigogne volubile, 7e édition du printemps des livres de la jeunesse du Maroc mené par l'institut français de Tétouan s'articule autour de la notion de "l'espace atelier" comme lieu d'expérimentation, de transmission, de réflexion et de création. Le thème du voyage de ville en ville était l'occasion d'élaborer des ateliers pratiques qui mettent en avant la créativité et l'imagination des enfants par le biais du dessin. Ce dernier se transforme par la suite en graphisme et vient habiller les meubles de la ludothèque de l'institut français de Tétouan . Des dessins d’enfants et du graphisme pour l’habillage d’objets récupérés et réanimation des espaces scolaires Peinture sur meuble de rangements (80x50cm) Institut Français de Tétouan, Maroc ©farah harm ouch L'EAU A LA BOUCHE Workshop déplacement, rencontre et hospitalité encadré par Jean-Paul Thibeau dans le cadre de sa résidence à l'association Trankat de Tétouan. Le projet d'hospitalité : L’objet de ce workshop est de permettre la mise en place de séances d’expérimentation autour des notions de « déplacement, rencontre et hospitalité » afin de faire partager des outils conceptuels et expérimentaux affinés depuis plusieurs décennies, à travers différents ateliers : Méta-atelier et Protocoles Méta mené aussi bien à Bordeaux (1990-2002) qu’à Aix (2002-2015) qu’à travers différents workshops réalisés en France comme à l’étranger (Maroc, Sénégal, Côte d’Ivoire, Mali, Suède, Espagne, Martinique… ). Pour articuler les 3 notions de « déplacement, rencontre et hospitalité », on part sur « l’eau » comme matière et objet d’expérience et d’expérimentation. À travers différentes expériences individuelles et collectives aussi bien corporelles, sensibles, que réflexives, nous nous sommes appuyer sur des déplacements physiques tout en problématisant les notions de rencontres, d’hospitalités, des rapports de dialogues et d’échanges entre nous (étudiants) et avec les interlocuteurs rencontrés dans la médina de Tétouan. Lien projet